Apollinaire, Guillaume
Aragon, Louis
Artaud, Antonin
Balzac, Honoré de
Barbey d'Aurevilly, Jules
Beauvoir, Simone de
Bernanos, Georges
Bertrand, Aloysius
Boiffard, Jacques-André
Breton, André
Caillois, Roger
Cocteau, Jean
Colette, Colette Willy,
Corneille, Pierre,
Cyrano de Bergerac, Savinien
Descartes, René,
Ducasse, Isidore
Flaubert, Gustave
Gauthier, Renée
Gautier, Théophile
Gide, André
Giraudoux, Jean
Green, Julien
Hugo, Victor
Huysmans, Joris-Karl
Jogues, Isaac
Leiris, Michel
Loti, Pierre
Maupassant, Guy de
Mérimé, Prosper
Morise, Max
Naville, Pierre
Nerval, Gérard de
Nodier, Charles
Noll, Marcel
Perec, Georges
Proust, Marcel
Queneau, Raymond
Racine, Jean
Sartre, Jean-Paul
Senancour, Étienne Pivert
de
Yourcenar, Marguerite
Zola, Émile
Adrienne
Mesurat, Julien Green, 1927
« Âmes du
purgatoire (les) », Prosper Mérimé,
1834
Annette et le criminel
ou Suite du « Vicaire des Ardennes »,
Honoré de Balzac, 1824
« Apparition », Guy
de Maupassant, 1883
Arcane 17,
André Breton, 1944
À
rebours, Joris-Karl Huysmans, 1884
Athalie, Jean
Racine, 1691
Au Bonheur des
dames, Émile Zola, 1883
Aurélia, Gérard
de Nerval, 1855
« Autre Sommeil
(le) », Julien Green, 1930
Chants de Maldoror
(les), Isidore Ducasse, 1869
Chaque homme dans sa
nuit, Julien Green, 1960
Clair de terre,
André Breton, 1922, 1923
Côté de
Guermantes (le), Marcel Proust, 1914
«
Djoûmane », Prosper Mérimée,
1873
Du côté de
chez Swann, Marcel Proust, 1913
En rade,
Joris-Karl Huysmans, 1887
Éducation
sentimentale (la), Gustave Flauvert, 1869
Empires du Soleil
(les), Cyrano de Bergerac, 1662
Enfants terribles
(les), Jean Cocteau, 1925
Fée aux miettes
(la),
Charles Nodier, 1832
Fleurs d'ennui,
Pierre Loti, 1882
Force des choses
(la), Simone de Beauvoir, 1963
Gaspar de la
nuit, Aloysius Bertrand, 1842
« Hérésiarque
(le) », Guillaume Apollinaire, 1902
Histoire de la grandeur
et de la décadence de César Birotteau,
Honoré de Balzac, 1837
Horla (le), Guy
de Maupassant, 1887
Imaginaire (le),
Jean-Paul Sartre, 1940
Jean Santeuil,
Marcel Proust, 1900 [1952]
Jésus-Christ en
Flandre, Honoré de Balzac, 1831
Jettatura,
Théophile Gautier, 1856
Lettres à une
inconnue, Prosper Mérimée, 1873
Livre de la pitié
et de la mort (le), Pierre Loti, 1891
Malfaiteur (le),
Julien Green, 1948
Manuscrit de 1652 de
Paul Ragueneau,
Isaac Jogues, 1638
Martyrs (les),
François de Chateaubriand, 1908
Mémoires
d'Hadrien, Marguerite Yourcenar, 1951
Minuit, Julien
Green, 1936
Misérables
(les), Victor Hugo, 1862
Mont-Cinère, Julien Green,
1926
« Morte amoureuse
(la) », Théophile Gautier, 1836
Mort d'Agrippine
(la),
Cyrano de Bergerac, 1654
Mots (les),
Jean-Paul Sartre, 1965
Nausée
(la),
Jean-Paul Sartre, 1938
Nadja,
André Breton, 1928
« Nuits d'octobre
(les) », Gérard de Nerval, 1852
«Oberman,
Étienne Pivert de Senancour, 1804
« Onirocritique »,
Guillaume Apollinaire, 1902
« Onuphrius »,
Théophile Gautier, 1832
Paludes,
André Gide, 1895
« La pipe
d'opium »,
Théophile Gautier, 1838
« Pied de momie
(le) », Théophile Gautier, 1840
Polyeucte,
Pierre Loti, 1643
Propos d'exil,
Pierre Loti, 1887
Relation de 1647 de
Jérôme Lalemant, Isaac Jogues, 1640
« Rêves »,
André Breton, la Révolution
surréaliste, 1924
« Rêves », Guy
de Maupassant, 1883
Révolution surréaliste
(la), 1924-1926
Roman de la momie (le),
Théophile
Gautier, 1857
Simon le
pathétique, Jean Giraudoux, 1918
Sodome et
Gomorrhe, Marcel Proust, 1921
Sous le soleil de
Satan, Georges Bernanos, 1926
Spirite,
théophile Gautier, 1865
« Sur les chats
», Guy de Maupassant, 1886
Suzanne et le
Pacifique, Jean Giraudoux, 1921
Thérèse
Raquin, Zola, Émile, 1867
Un homme qui
dort, Georges Perec, 1967
Ursule
Mirouët, Honoré de Balzac, 1841
Varouna, Julien
Green, 1940
Vie de
Descartes, Adrien
Baillet, 1691 (sur un manuscrit latin de Descartes, 1619/1620)
« Voyageur sur la
terre (le) », Julien Green, 1926
Vrilles de la vigne
(les), Colette, 1908
Les auteurs sont rangés dans l'ordre chronologique selon la
date du premier rêve de chacun d'eux édité dans
le recueil.
1619 René Descartes
1638 Isaac Jogues
1643 Pierre Corneille
1654 Cyrano de Bergerac
1691 Jean Racine
1804 É. Pivert de
Senancour
1824 Honoré de Balzac
1832 Théophile
Gautier
1832 Charles Nodier
1834 Prosper
Mérimé
1842 Aloysius Bertrand
1850 Gérard de Nerval
1862 Victor Hugo
1864 Jules Barbey
d'Aurevilly
1867 Émile Zola
1869 Isidore Ducasse
1869 Gustave Flaubert
1876 Guy de Maupassant
1882 Pierre Loti
1884 Joris-Karl Huysmans
1895 André Gide
1900 Marcel Proust
1902 Guillaume Apollinaire
1908 Sidonie Gabrielle :
Colette
1918 Jean Giraudoux
1922 André Breton
1924 la Révolution
surréaliste
1925 Jean Cocteau
1926 Georges Bernanos
1926 Julien Green
1938 Jean-Paul Sartre
1951 Marguerite Yourcenar
1963 Simone de Beauvoir
1967 Georges Perec
1977 Roger Caillois
Ce corpus (actuellement de plus d'une centaine
de textes) est
destiné à réaliser l'analyse narrative du
récit de rêve selon les diverses périodes ou
les divers mouvements de la littérature française
moderne (réaliste, fantastique, romantique,
surréaliste, etc.). Comme on va le voir, ce recueil est
établi sur la base du corpus de Frédéric
Canovas.
Pour être retenu, un RÉCIT de
RÊVE
littéraire doit rencontrer trois conditions : il doit
s'agir d'un RÉCIT — c'est-à-dire d'une histoire
ou,
si l'on veut, du récit
d'une histoire — et bien entendu du récit d'un
RÊVE
(et non d'un songe, d'une rêverie, d'une vision, ou encore
d'images, de sensations, d'exposés,
etc., relatifs au rêve). Bref, le récit doit en
être un et le rêve aussi ! et, en plus, il doit
être
déclaré comme tel.
Les récits de rêve de ce recueil
ont été
choisis à partir du corpus de Frédéric Canovas
dans sa thèse intitulée Narratologie du
récit de rêve dans la prose française de
Charles Nodier à Julien Gracq (thèse de doctorat
inédite, University of Oregon, Department of Romance
Languages, 1992, X-271). C'est dans la section qui porte sur la
longueur des récits de rêve (p. 26-31) que
Canovas pose la question de la distinction entre le
« récit de rêve bref » et
l'« allusion au rêve » (p. 28).
Comme sa thèse le montre, le critère pragmatique
qu'il adopte pour définir le phénomène
narratif est très efficace : il faut que l'attention
du lecteur puisse passer du récit romanesque au récit
de rêve qu'il contient, ce qui revient à
présupposer un changement de niveau narratif.
Par « récit de
rêve », il faut
entendre une histoire qui raconte le contenu d'un
rêve. Qu'est-ce qu'une histoire ? C'est une suite
d'événements et donc une série actions qui se
déroule dans le temps. De façon
générale, on peut dire qu'il est très souvent
question de rêve dans les oeuvres littéraires, tandis
qu'en comparaison on y trouve très peu de récits de
rêves. En particulier, il n'est pas rare qu'on évoque
en quelques mots les rêves des personnages (on en donne les
sujets, on en fait des sommaires ou des résumés, ou
encore on en désigne des événements ou des
personnages marquants). Ces évocations ne sont pas des
récits (qui eux, se résument) et ne sont donc pas
retenues ici.
Par ailleurs, critère essentiel,
Canovas a établi son
corpus sur la base de ce qu'il appelle le « pacte
onirique » (p. 158 et suiv.). On l'a dit, le
récit de rêve, pour être retenu, doit être
déclaré comme tel, au moins implicitement (par le
réveil du personnage, par exemple, mettant fin à
l'histoire rêvée).
Pour l'établissement du corpus ou le
choix des textes du
recueil, le problème est le suivant. Frédéric
Canovas a donné son « corpus » en
appendices à sa thèse sous la forme de trois
listes : une liste chronologique des oeuvres
littéraires, une liste chronologique des oeuvres
autobiographiques et une liste des revues littéraires ayant
publié des récits de rêves. Mais ces listes
n'identifient pas le ou les rêves dans les oeuvres. Nous
avons donc entrepris de les localiser, de les situer et de les
éditer.
Nous avons procédé ainsi. Pour
chaque auteur retenu
par Canovas, d'abord nous éditions tous les
« récits de rêve » des oeuvres
retenues — même dans les cas où ces
récits ne
sont pas des rêves ! Ce sont les textes
écartés du corpus des récits de rêve
qu'on trouve entre crochets dans la table générale.
Nous les retenons tout simplement parce qu'ils peuvent servir
d'exemples aux phénomènes connexes, comme les
rêveries (celles de Suzanne dans Suzanne et le
Pacifique de Jean Giraudoux), les visions (les Martyrs
de Chateaubriand ou quelques visions d'Aurélia), le
somnabulisme (par Barbey d'Aurevilly), des images oniriques (dans
Arcane 17) ou tout simplement des récits
fantastiques pouvant être assimilés à des
rêves (« La nuit » de Maupassant). Bref,
nous éditons tout le corpus de Canovas, en signalant ce qui
à notre avis devrait en être écarté.
En revanche, dès qu'un auteur est
retenu, nous avons
tenté d'éditer tous ses récits de rêve
littéraire, même dans les oeuvres qui ne figurent pas
dans son corpus. Par exemple, Canovas a retenu six romans de
Julien Green (dont Moïra où il n'y a aucun
récit de rêve), alors nous avons tenté de
trouver tous les rêves littéraires de tous ses romans
(soit dix où l'on trouve des récits de rêve,
onze romans en comptant Moïra). On peut donc dire que
notre objectif est de retenir et d'enrichir le corpus des
récits de rêve littéraires établi par
Frédéric Canovas.
On trouvera ci-contre l'état actuel du
dépouillement
de ce corpus :
Le corpus de Frédéric
Canovas : état du dépouillement
Objectifs
La nature de ce recueil correspond aux
objectifs de mon travail,
l'étude narrative du récit de rêve. Les
résultats de l'étude scientifique dépendent
entièrement de son objet, surtout si celui-ci est
représenté par un corpus, un échantillon ou un
recueil. Ainsi se définit ce recueil de textes qui sont
tous des récits (et par conséquent racontent des
histoires) et se présentent eux-mêmes comme des
récits de rêve.
Ce sera à l'étude narrative de
voir si ces
récits peuvent raisonnablement correspondre au modèle
de l'histoire rêvée moderne. Qu'est-ce à
dire ? Depuis les Chants de Maldoror de
Lautréamont par Isidore Ducasse, on peut deviner que le
récit de rêve moderne présente une structure
narrative très caractéristique, contairement au
« songe » des autres civilisations
(sumérienne, gréco-latine, indienne ou
amérindienne). On peut croire que le rêve, pour notre
civilisation moderne, est un récit-là, sans aucune
autre portée (divine, télépathique ou
divinatoire) que son contenu autobiographique et son
éventuelle psychanalyse (il n'y a pas d'autre mot qui
convienne à son
« interprétation »).
Cela dit, si le premier objectif de ce travail
est d'ordre
narratif, son corpus peut servir à plusieurs fins. Mon
« Recueil des Récits de Rêve » se
trouve donc à la portée des amateurs et des
spécialistes. J'espère que les premiers y trouveront
l'occasion de retourner aux oeuvres des auteurs d'où ces
récits sont extraits; que les seconds voudront avec moi
s'interroger sur la structure du récit de rêve.
Comme on l'a vu, pour être retenu dans
l'anthologie des
récits de
rêve, un texte doit être
explicitement déclaré comme récit de
rêve, il ne
doit pas être autre chose qu'un rêve et il doit
nécessairement être un récit. On trouve alors
un corpus
homogène de récits de rêve littéraires,
les seuls
auxquels l'analyse narrative pourra s'appliquer pour étudier
sous
quelles formes les auteurs (francophones) ont
présenté
l'histoire rêvée selon les époques, les genres
et les
mouvements littéraires.
Texte de base
Texte de base : le choix du texte
édité est celui de
l'édition
originale (lorsqu'elle n'a pas été revue et
corrigée) ou
l'édition la plus ancienne qu'on a pu trouver à
Montréal
ou
sur la Toile (c'est notre « texte
témoin », celui
qu'on
donne en référence).
Édition
L'édition des texte que nous proposons
n'est pas,
d'elle-même,
une « édition critique ». En revanche,
notre édition tient compte des acquis des éditions
critiques.
On le
verra en particulier dans nos notes, où nous avons retenu
les variantes
les
plus significatives des textes.
Établissement
La graphie et l'orthographe sont
régularisées
sur l'usage moderne et ces interventions ne sont pas
indiquées dans
l'annotation. En revanche, toute correction apportée au
texte de base
est
indiquée dans la section des variantes.
Annotation
Nous tentons d'éclaircir toutes les
allusions
du
récit
de rêve à l'oeuvre dont il est extrait. Par ailleurs,
nous ne
commentons pas, en général, ce qui se trouve dans
le Petit
Larousse
ou le Petit Robert, sauf dans les cas où il est
évident
que
le
lecteur devra y recourir, pour les mots rares, recherchés ou
techniques.
En revanche, pour tous les noms propres, nous n'hésitons pas
à
les
commenter, notamment parce que notre édition ne s'adresse
pas seulement
aux
francophones et que les noms propres sont les plus marqués
par la
culture.
Édition scientifique
La majorité, plus d'une centaine des
textes
édités ici ont
déjà subi
trois lectures
critiques
(leur troisième « correction
d'épreuves »
en particulier). Les autres sont au contraire en cours
d'édition (il
s'agit
de tous les fichiers dont l'adresse commence par 2- [par exemple
celui de
Paludes, 2-agid1.html]).
/ Marque l'alinéa dans les notes et les
variantes
Canovas Frédéric Canovas,
Narratologie
du
récit de rêve dans la prose française
française de
Charles Nodier à Julien Gracq, thèse de doctorat
inédite,
University of Oregon, Department of Romance Languages, 1992, X-271
p.
DDLF Dictionnaire des
difficultés de
la
langue française, par Adolphe V. Thomas, Paris,
Larousse,
1956.
DGLF Dictionnaire
général de
la
langue
française, par A. Hatzfeld, A. Darmesteter et A. Thomas,
Paris,
Delagrave,
1964, 2 vol.
DHLF Dictionnaire Historique de la
langue
française,
Par A. Rey, Paris, Le Robert, 1992, 2 vol.
Pierrot Jean Pierrot, le Rêve : de
Milton
aux
surréaliste, Paris, Bordas (coll. « Univers
des
lettres », série thématique), 1973, 176
p.
PL le Petit Larousse, Paris,
Larousse.
PR le Petit Robert, Paris, Le
Robert.
TT Texte témoin (c'est notre texte de
base, dans
l'état actuel du travail).
La première tranche de ce corpus a
été
réalisée à
l'Université de Montréal sous la direction de Guy
Laflèche, du 2 juillet au 10 août 2001.
L'équipe
de recherche était composée des étudiants
suivants :
Catherine Baron, Jean-François Cloutier, Sophie
Kérouack,
Marie-Claude Reid et Mathieu Tremblay (avec la collaboration de
Catherine
Bouchard).
Au cours des étés 2002 et 2003,
c'est
Marie-Ève Boucher
qui a poursuivi l'établissement de ce corpus, sous la
direction de Guy
Laflèche.
Ce travail a été entrepris dans
le cadre d'une
subvention d'équipe du Conseil des recherches en sciences
humaines du Canada (2001-2004) intitulé
« Étude du récit de rêve »,
projet de Christian Vandendorpe (Ottawa), Antonio Zadra
(Montréal) et Guy Laflèche, avec la collaboration de
Nicole Bourbonnais (Ottawa).
L'édition et l'analyse narrative du
corpus des rappels de
rêves de la banque d'Antonio Zadra ont été
réalisées dans le cadre de mon séminaire sur
la
sémiotique narrative de janvier à avril 2005 avec la
collaboration des participants : Mathieu D'Amour, Tanka
Gagné Tremblay, Charlotte Horny, Maria Marca Liliana,
Foré Sarr, Maxime Stoecker et Sylvie Thibault.
Reproduction interdite sous quelque forme que
ce soit.
Tous les textes édités dans ce
fichier sont du
domaine public au Canada ou sous un copyright accordé pour
la
présente édition. À Montréal, un texte
est du domaine public cinquante ans après la mort de son
auteur, même s'il ne l'est pas encore en France, par exemple.
C'est en effet la loi canadienne qui s'applique ici. La
République française, tout comme celle de Chine, est
libre d'imposer un mécanisme pour bloquer la diffusion de
ces fichiers sur son territoire.
Il existe toutefois un cas particulier, celui
des textes publiés dans la Révolution
surréaliste (1924-1926). Comme nous n'avons
trouvé aucun de ces textes réédités par
son auteur de son vivant, nous avons considéré que
ces textes avaient été cédés à
la revue et qu'ils sont donc aujourd'hui, depuis longtemps, du
domaine public, même dans les cas où ils avaient
été réédités par d'autres que
leurs auteurs, notamment dans leurs oeuvres complètes.
Même dans le cas où les textes
sont du domaine public, la présente édition
appartient entièrement
à Guy Laflèche et ne peut être reproduite sous
quelque forme que ce soit, en tout ou en partie, sans sa permission
écrite. Cela comprend notamment et sans exclusions
l'édition html, comme la mise
en forme éditoriale des textes, les situations, les
localisations, les bibliographies, les textes des commentaires, des
notes et des variantes.
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